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Voici, tu as donné à mes jours la largeur de la main,
Et ma vie est comme un rien devant toi.
Oui, tout homme debout n’est qu’un souffle. – Pause.
Oui, l’homme se promène comme une ombre,
Il s’agite vainement;
Il amasse, et il ne sait qui recueillera.
Maintenant, Seigneur, que puis-je espérer?
En toi est mon espérance.

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